HOMMAGE A PATRICK CHEREAU, SCENES IMAGINAIRES

Dans les deux cas, le mouvement est associé, au théâtre comme au cinéma, rien n’est jamais arrêté. J’ai l’avantage de faire deux métiers où le corps n’est jamais figé dans une posture, où le visage ne se résume pas à une expression. Patrice Chéreau

 

Textes lus : 

Trois sonnets de Shakespeare,

Lenz, de Buchner

Sallinger, de Bernard-Marie Koltès

Le bâtiment de pierre, de Asli Erdogan

Les nuits blanches du tigre blanc, une rencontre avec Orson Welles, de Hervé Guibert

Une saison en enfer, d’Arthur Rimbaud

 

HOMMAGE A PATRICK CHEREAU, SCENES IMAGINAIRES
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